[Bon goût] Artwork : la Soucoupe vous gâte

Le 13 novembre 2010

Les habitants de la Soucoupe d'OWNI vous proposent leurs coups de cœur pour les pochettes de disques les plus... disons.... déroutantes. "C'est le délire de l'artiste". Voilà, on va dire ça...

Le choix de l’artwork est un moment délicat dans le processus créatif de tout Å“uvre musicale. Il est en effet l’un des éléments majeurs associés au disque, et véhiculera une grande partie de l’image de l’artiste. Parfois, on se demande ce qui a pu se passer dans le processus pour que certaines pochettes soient validées et finalement commercialisées. Et c’est ça qui est beau. Oui, beau.

Ci-dessous vous trouverez un florilège (mal)heureusement non-exhaustif des pires visuels de disques jamais publiés, choisis par les habitants de la “Soucoupe”, l’environnement où les équipes d’OWNI évoluent au quotidien. Bon appétit.

Tom : génie du codage mais également esthète devant l’éternel, il nous gratifie de propositions simples, mais moches. Mais simples. Mais moches.

Ophélia : on pourrait la croire aussi délicate qu’une orchidée en fleurs, mais détrompez-vous. Cette femme saura vous choquer.

Pirhoo : On dit merci et bravo au monsieur pour sa participation. En vrai il a bon goût ceci dit…Là, il nous apprend que certaines pochettes ont finalement été modifiées pour leur commercialisation. On comprend aisément pourquoi.

Marion : Un choix moderne, récent, élégant et poilu pour notre charmante designer. Ses productions sont bien plus élégantes, rassurez-vous…

Lara : notre coordinatrice artistique aime les bonnes choses. Elle a aussi l’oeil pour les moins bonnes. La preuve.

Martin : En scientifique averti, il nous a confié en exclusivité que la pochette du dernier Prince était “immonde à 40%” “atroce à 30%” et “dégueu à 30%”.

Nicolas KB : on peut être qualifié de “Justin Bieber du datajournalisme” et savoir revenir aux vraies choses. Le folklore moldave, notamment.

Olivier : Hipster devant l’éternel, il ne manque pas d’égratigner les porteurs d’une hype surestimée. Aïe les yeux.

Valentin : King Of Pop peut-être, king of kitsch, sans aucun doute.

Loïc : Il me semblait difficile de passer à côté de l’immondice offerte par le finaliste d’American Idol 2008, un garçon distingué et de bon goût comme vous pouvez le constater.

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